mardi 9 novembre 2021

 Les "complotistes", empêcheurs de tourner en rond.

 

Parmi la quantité de chiffres plus ou moins vérifiables brandis par ceux qui défendent l’une ou l’autre thèse relatives au débat sur le Covid-19, il en est un qui aujourd’hui apparaît toutefois comme surprenant : si le taux de taux de mortalité de la population suisse aura légèrement augmenté en 2020, il est en revanche plus bas en 2021 que les années précédentes ! Cette constatation est d’autant plus étonnante que les médecins se sont vus interdire la prescription de médicaments qui, sans être miraculeux, sont manifestement efficaces. Si, au lieu de devoir nous précipiter tous sur un traitement expérimental suspect appelé à tort ou à raison « vaccin », les malades avaient été pris en charge par leur médecin de famille et traités de manière individuelle, ne pourrions-nous pas imaginer que le Covid-19, comme une bénédiction, aurait été la grippe la moins meurtrière de ces cinquante dernières années ? Et aussi la moins coûteuse lorsque l’on connaît le prix dérisoire des médicaments courants comparé aux milliards dépensés en « vaccins ». 

 

En regard de ce qui précède, certains « complotistes » sont convaincus qu’avec la « vaccination » à tout va et l’obligation du passe sanitaire -qui n’a de sanitaire que le nom-, cette crise constitue une manipulation dont les objectifs sont obscurs mais qui permet en tout cas à une « élite » privée de s’enrichir de manière éhontée avec l’appui des autorités et s’étonnent donc que même les partis de gauche y soient favorables en encourageant leurs adeptes à voter pour une loi trompeuse et liberticide.

 

 

 

 

 

 

 

lundi 19 octobre 2020

Le retour de la monarchie.

 

Chers concitoyens qui ignorez encore que le roi Ubu a enfin pu prendre le pouvoir afin d’assurer une félicité nyrvaniesque à ses sujets, je me permets de partager avec vous cette nouvelle. Et si vous ne connaissiez pas l’origine des privilèges dont nous sommes bénéficiaires depuis quelques mois, vous pouvez enfin lui rendre grâce pour le magnifique bal masqué qui inaugure son règne. Désormais vous allez vous divertir en jouissant des joyeuses mesures qu’il élabore en accord avec les meilleurs pataphysiciens de la Cour. En retour de ces largesses, le roi Ubu exige cependant de respecter l’obligation de s’amuser et de rire de ses facéties qui sont la preuve de son sens de l’humour. Il peut d’ailleurs compter sur ses sbyres, praysidents, minysthres et autres parlotheurs pour veiller à l’application de ses heureuses initiatives. Bien que magnanime, le roi Ubu ne saurait cependant tolérer la désobéissance qui, si elle était collectivement avérée pourrait entraîner quelques sévères punitions telle l’interdiction signifiée au Père Noël de faire sa tournée cette année. Réjouissez-vous donc de ses projets passés ou à venir dont certains consistent à nous autoriser de cesser le travail pour pouvoir nous reposer à la maison ou à travailler confortablement installés sur nos canapés, à éviter de devoir aller rendre visite à nos belles-mères en EMS, à ne plus être obligés de partir en vacances, etc. Nous entrons donc dans une nouvelle ère qui loin de la terne monotonie de nos existences passées nous promet un univers plein de ludiques contradictions, de non-sens, d’incohérences et de paradoxes à la lumière des chandelles vertes. En le remerciant pour ses bienfaits, souhaitons donc longue vie au roi Ubu.

 

Frank Böttger

La Sarraz 

lundi 21 novembre 2016

jeudi 10 novembre 2016


Le peuple américain étant constitué à parts à peu près égales d’hommes et de femmes, il semblerait donc qu’une partie importante des femmes acceptent d’être méprisées par celui qu’elles ont élu sinon rien qu’avec leurs voix il aurait déjà eu 50 % d’opposition.

samedi 23 juillet 2016

Evidemment, nous nous révoltons contre la barbarie de ces terroristes qui tuent des innocents au nom d’un certain Islam. Cependant, ne devrions-nous pas nous interroger sur le degré de culpabilité des uns et des autres. D’un côté, les « coupables » que sont ces paumés qui n’ont plus rien à perdre et qui sont manipulés pour sacrifier leur vie dans des opérations meurtrières. D’un autre côté, les « innocents » membres de notre civilisation dite chrétienne qui depuis des siècles a colonisé sans vergogne des continents entiers. En Afrique, en Amérique du Nord et du Sud, des millions d’hommes, de femmes et d’enfants ont été exterminés tandis que les survivants spoliés de leurs terres étaient réduits à l’esclavage. Aujourd’hui encore, le déséquilibre entre l’Occident et le tiers-monde constitue une injustice flagrante. Considéré sous cet angle, comment s’étonner des phénomènes de révolte tels que ce « terrorisme » qui apparaît finalement comme une réaction naturelle. Il serait donc temps de battre notre coulpe et de prendre nos responsabilités dans la manière de résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés. Malheureusement, avec le succès grandissant des idées d’extrême droite, nous sommes en train de prendre une direction diamétralement opposée à celle que la raison nous dicte. 

Frank Böttger 



vendredi 15 avril 2016


Si nous déplorons que les Droits de l’Homme ne soient pas respectés dans de nombreuses situations, ne devrions-nous pas nous référer aussi aux devoirs, eux aussi souvent bafoués. Face à la misère du monde représentée par ces millions de migrants, d’affamés, de sans-abri, de sans emploi et de victimes d’abus divers, le statut de nantis que nous sommes dès l’instant où nous avons un toit sur la tête et quelque chose à manger dans notre assiette, devrait nous imposer sinon de la générosité, au moins de la compassion. Or certains individus ou certains partis qui n’ont que l’égoïsme pour philosophie méprisent manifestement ces devoirs. Et parmi ces "personnalités" de l’industrie, du commerce et de la politique qui engrangent salaires, jetons de présence et bonus par millions, toutes ne devraient pas avoir bonne conscience de la manière dont elles partagent ces richesses. Aujourd'hui, les révélations des "Panama papers" démontrent à quel point notre société est pervertie par ceux-là mêmes qui devraient être exemplaires. Pour défendre notre civilisation et nous protéger de l’anarchie qui s’installe dans de nombreux domaines, il est impératif de faire appel à la notion de civisme qui nous fait trop souvent défaut. 

Frank Böttger

lundi 4 avril 2016